34 research outputs found

    La campagne CORAIL 2 sur le plateau des îles Chesterfield (N.O. "Coriolis" et N.O. "Alis", 18 juillet au 6 août 1988)

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    L'archipel des îles Chesterfield, situé dans la mer du Corail entre la Grande Barrière de Corail et la Nouvelle-Calédonie, a fait l'objet de deux campagnes océanographiques, l'une concernant l'ichtyofaune (CORAIL 1) et l'autre le benthos (CORAIL 2). La campagne CORAIL 2 a échantillonné les fonds meubles du lagon de Chesterfield et les bancs Lansdowne et Fairway avec 149 dragages et 23 traits de chalut à perche. Après un exposé de l'intérêt biogéographique de l'archipel de Chesterfield replacé dans le contexte géologique régional, une description des objectifs des campagnes CORAIL est présentée. Les premières observations concernant la nature des fonds, les sédiments et la répartition de certains taxa sont données en annexe sous forme de cartes. (Résumé d'auteur

    La campagne CORAIL 1 du "N.O. CORIOLIS" aux îles Chesterfield (du 15 août au 4 septembre 1988) : données préliminaires sur les peuplements ichtyologiques

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    La campagne CORAIL 1 a permis l'étude des peuplements ichtyologiques coralliens sur trois stations aux îles Chesterfield. Chaque station est divisée en trois strates de profondeur : 0-5 m, 5-10 m et 10-15 m. Dans chaque strate deux empoisonnements à la roténone et de 3 à 5 transects ont été réalisés. Au total, 555 espèces de poissons ont été recensées. Ces poissons présentent une affinité légérement supérieure avec les peuplements de Nouvelle Calédonie qu'avec ceux de la Grande Barrière de Corail (GBR). Les résultats des empoisonnements et des comptages ont été combinés pour calculer les densités et les biomasses. Ces deux paramètres diminuent avec la profondeur, mais du fait de la diminution simultanée des substrats durs avec la profondeur, on observe de très grandes concentrations de poissons sur les pâtés coralliens isolés sur les fonds meubles au-delà de 10 m. Les densités et les biomasses observées (O.15 à 5.26 poissons/m2 et de 1.7 à 230 g/m2) sont du même ordre de grandeur que ce qui est actuellement connu du Pacifique tropical. La structure trophique de ces peuplements varie considérablement d'une strate à l'autre, l'élément le plus stable étant le nombre d'espèces par groupe trophiqu

    Mesures de courant, de marée et de vent dans le lagon sud-ouest de Nouvelle-Calédonie : 2ème partie : juillet 1989 à octobre 1990

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    Ce rapport scientifique et technique présente l'ensemble des données physiques récoltées, de juillet 1989 à octobre 1990, dans le cadre du programme de modélisation du lagon sud-ouest de Nouvelle-Calédonie. Durant cette période, il a été mesuré le courant à partir de 3 mouillages de 2 courantomètres, le niveau de la mer à partir de 4 marégraphes et le vent par 2 stations météorologiques. Dans une première partie la technique de mouillage, la localisation des appareils et les différents problèmes rencontrés sont expliqués. Dans une deuxième partie l'ensemble des tracés liés à ces mesures est donné. (Résumé d'auteur

    Production primaire benthique du lagon sud-ouest de Nouvelle Calédonie : méthodes et recueil des données

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    Ce document regroupe les résultats bruts obtenus lors des missions effectuées de juillet 1990 à juillet 1991 à bord du N.O. ALIS dans le lagon sud-ouest de Nouvelle-Calédonie. La production primaire benthique a été mesurée par le moyen d'incubations réalisées #in situ$. Pour cela des sondes polarographiques (YSI 58) reliées à des oxymètres protégés dans un caisson étanche ont été utilisées afin de mesurer la concentration d'oxygène dans des enceintes d'incubation isolant une fraction de benthos. 180 incubations ont été réalisées sur 60 stations disposées aléatoirement dans l'espace et dans le temps. Tout d'abord la production d'oxygène nette a été mesurée parallèlement à la quantité de lumière disponible à l'intérieur des enceintes, puis un inhibiteur de la photosynthèse a été injecté (DCMU) dans les enceintes ce qui a permis de mesurer la consommation d'oxygène. La production primaire brute a alors été calculée. (Résumé d'auteur

    Records of Great White Sharks (Carcharodon carcharias) in New Caledonian Waters.

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    v. ill. 23 cm.QuarterlyThe occurrence of great white sharks (Carcharodon carcharias) in New Caledonia is documented from 30 observation events (sightings or captures or forensic examination of wounds) made between 1943 and 2009, involving 34 individual sharks. Nine of the observation events concerned animals caught on lines set for deep-sea fishes, five were encounters with scuba divers or snorkelers, and one was a fatal attack on a surfer; two other observations included great white sharks feeding on whale carcasses; two were from pop-up archival transmitting tag records that monitored individuals tagged in the Chatham Islands, New Zealand; one was a forensic identification from wounds sustained by another large shark; and seven were fortuitous sightings from boats. Nearly all observations were of solitary sharks. Observation events were concentrated in the southern lagoon of New Caledonia or along its barrier reef. They occurred from July to March, with most records in September and November, coinciding with a peak of occurrence of large cetaceans

    Fatal tiger shark, Galeocerdo cuvier attack in New Caledonia erroneously ascribed to great white shark, Carcharodon carcharias

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    International audienceTo understand the causes and patterns of shark attacks on humans, accurate identification of the shark species involved is necessary. Often, the only reliable evidence for this comes from the characteristics of the wounds exhibited by the victim. The present case report is intended as a reappraisal of the Luengoni, 2007 case (International Shark Attack File no. 4299) where a single shark bite provoked the death of a swimmer by haemorrhagic shock. Our examination of the wounds on the body of the victim, here documented by so-far unpublished photographic evidence, determined that the shark possessed large and homodontous jaws. This demonstrates that the attacker was a tiger shark, not a great white shark as previously published

    Fatal tiger shark, Galeocerdo cuvier attack in New Caledonia erroneously ascribed to great white shark, Carcharodon carcharias

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    To understand the causes and patterns of shark attacks on humans, accurate identification of the shark species involved is necessary. Often, the only reliable evidence for this comes from the characteristics of the wounds exhibited by the victim. The present case report is intended as a reappraisal of the Luengoni, 2007 case (International Shark Attack File no. 4299) where a single shark bite provoked the death of a swimmer by haemorrhagic shock. Our examination of the wounds on the body of the victim, here documented by so-far unpublished photographic evidence, determined that the shark possessed large and homodontous jaws. This demonstrates that the attacker was a tiger shark, not a great white shark as previously published
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